Bonjour les amies copinautes ! J’espère que vous allez bien.

En août 2014, Fabrice rêvait de découvertes et de voyages.
En compagnie de Ginou son girafon, il espérait… et c’est arrivé !
Constatez-le ! Notre Fabrice n’a pas pris une ride. et fidèle à ses rêves, il vous propose aujourd’hui une escapade romantique à Vienne.
Cette fois Ginou est du voyage.
Laissez-vous guider dans l’un des plus beaux parcs de la capitale autrichienne : le Stadtpark.
Ce parc municipal à l’anglaise est aussi l’un des plus anciens, puisque ouvert au public en 1862.
Je vous souhaite une belle et verdoyante découverte à nos côtés !
(Photos extraites de notre séjour « en liberté » réalisé à Vienne en juin 2009).
Composés d’une grande variété d’espèces végétales, les espaces verts et les allées du parc offrent des niveaux de promenades toujours changeants, agrémentés de curiosités intéressantes.
Fabrice vous présente ses « coups de coeur » :

Les Viennois nomment affectueusement leur parc : « Notre jardin » (Unsere Garten). Mais ils savent en partager les beautés avec les visiteurs de passage.
Derrière l’horloge, se dresse un élégant édifice : le Kursalon (1867), à la fois salon de thé, lieu de concert réputé, et « temple » de la valse viennoise.
C’est ici que Fabrice a décidé d’apprendre … à danser la valse !

Profitons de l’instant, des senteurs, des couleurs, et des bruissements de l’eau de cette fontaine rafraîchissante.
Mais un peu plus loin, le petit impatient presse le pas.
N’y a-t-il pas de ce côté la statue d’un célèbre musicien viennois ?
Mais oui ! C’est bien elle qu’il recherche depuis un moment !

Les touristes et des Viennois l’adorent.
Je file devant, et vous me suivez. D’accord ?

Le Mémorial à Johan Stauss fils (1923) est un hommage de Vienne à l’un de ses plus illustres musiciens. Sa renommée dépassait celle de l’empereur, paraît-il !
Savez-vous qu’il a composé plus de 200 valses ?

La figure en bronze doré du grand musicien viennois est représentée en train de jouer du violon. Placée sous une arche en marbre blanc, elle est entourée d’un cortège de naïades inspirées de son chef-d’oeuvre : « le Danube bleu » (en fait, pas si bleu que çà !)
-« Un jour, je tâterai bien du violon… mais juste pour rire ! » promet Fabrice émerveillé par la beauté de la composition.

Ici, la statue de Franz Schubert …Vous savez bien…
-« Euh… oui, c’est çà… le compositeur de « la truite ».
J’aime bien cet air-là. Big Chef l’écoute souvent ! »
Contournons l’étang, peuplé de cygnes et de paons…

« Vous avez remarqué son élégant toit aux horloges !
On ne risque pas d’être en retard ! » se dit Fabrice.
Mais il est 17h 20, déjà !
Et puis prenons un peu de hauteur, car une autre curiosité nous attend.
Le parc est traversé par de nombreux petits ponts romantiques à souhait.
En effet, une petite rivière de 34 km de long le parcourt et le divise en deux : elle se nomme … la Vienne ! Eh oui, tout simplement !

La rivière occupe une petite partie du canal, permettant aux cyclistes et aux piétons de se promener à ses côtés.
Fabrice est ravi de cette surprise inespérée.
Il en redemande même…alors poursuivons la visite des rives de la Vienne.

Les berges ont été aménagées dans le style Art Nouveau (Jugendstil) à la fin du 19e s.
Kiosques, vases turquoise, balustrades, niches et escaliers de pierre semblent ainsi saluer à leur manière la résurgence de la petite rivière.
-« Prudence Fabrice ! Ne te penche pas ! »
-« Je me tiens au pilier, je me … cramponne ! » répond le chenapan.

10- Mais le polisson est aussi agile que coquin.
-« Coucou, je suis là, près des volubilis ».
De la margelle fleurie, Fabrice observe sur la rive
opposée les portiques et les colonnes Jugendstil aux motifs floraux de la station de métro de Stadtpark, l’une des plus belles de la capitale.
Le pavillon au toit vert en est l’un des majestueux accès.
-« Oh ! La sortie du parc est proche… L’escalier … c’est par ici ! »
-« La visite se termine alors » constate Fabrice.
« Mais j’espère que le petit circuit sélectionné vous a plu.
Girafon a apprécié gambader au rythme du beau Daube bleu… à moins qu’il ait préféré la frétillante mélodie de M. Schubert.
C’est une affaire de goût, n’est-ce pas ! »
Pour cette saynète-escapade n°14, Fabrice porte un ensemble réalisé en août 2014, composé d’une tunique Girafon (motif Jacquard original CréasdeMyjanie), d’un pantacourt, et de bottines assorties. (Ce modèle n’est plus en ma possession).
Fabrice et moi vous remercions de votre fidèle présence, toujours appréciée.
A une prochaine fois, et d’ici-là… portez-vous bien.
Amitiés
Myjanie